Une entreprise sociale canadienne fait face à des licenciements en raison des accusations de la SEC, la réglementation des projets Blockchain suscite à nouveau de l'attention.
Récemment, une entreprise canadienne de médias sociaux envisage de mettre fin à l'exploitation de son application de communication. La société a déjà envoyé des notifications de licenciement à 70 employés israéliens. Le PDG de l'entreprise a déclaré le 24 septembre qu'il fermerait l'application et réduirait l'effectif à une équipe d'élite de 19 personnes.
Cette entreprise est actuellement en litige légal avec la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis concernant la légalité de son émission de jetons. La SEC accuse l'entreprise d'avoir réalisé une émission de jetons de 100 millions de dollars sans enregistrement. Le co-directeur de l'application de la SEC a déclaré que, par la vente de ces jetons, l'entreprise "a privé les investisseurs des informations légitimes auxquelles ils ont droit et a entravé leur capacité à prendre des décisions d'investissement éclairées."
Cette entreprise a été fondée en 2009 par plusieurs étudiants canadiens et a reçu le soutien d'institutions d'investissement renommées. En 2017, l'entreprise a réalisé une offre initiale de jetons, levant un montant de 98 millions de dollars, tout en lançant sa propre monnaie virtuelle.
Cet événement a suscité de larges discussions dans l'industrie sur la relation entre les projets de startup blockchain et les organismes de réglementation, de nombreux projets s'étant unis pour soutenir le développement des cryptomonnaies.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
15 J'aime
Récompense
15
6
Partager
Commentaire
0/400
NullWhisperer
· Il y a 9h
techniquement parlant, un autre trou de sécurité est comblé... à la dure
Voir l'originalRépondre0
MEVHunterNoLoss
· Il y a 9h
Conformité non inscrite, nouveaux pigeons arrivés.
Voir l'originalRépondre0
LayerZeroEnjoyer
· Il y a 10h
La SEC est devenue folle cette fois-ci.
Voir l'originalRépondre0
alpha_leaker
· Il y a 10h
La lame de la régulation a enfin frappé le Canada.
Voir l'originalRépondre0
¯\_(ツ)_/¯
· Il y a 10h
Si vous prenez de l'argent sans conformité, c'est la faute de qui ?
Une entreprise sociale canadienne fait face à des licenciements en raison des accusations de la SEC, la réglementation des projets Blockchain suscite à nouveau de l'attention.
Récemment, une entreprise canadienne de médias sociaux envisage de mettre fin à l'exploitation de son application de communication. La société a déjà envoyé des notifications de licenciement à 70 employés israéliens. Le PDG de l'entreprise a déclaré le 24 septembre qu'il fermerait l'application et réduirait l'effectif à une équipe d'élite de 19 personnes.
Cette entreprise est actuellement en litige légal avec la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis concernant la légalité de son émission de jetons. La SEC accuse l'entreprise d'avoir réalisé une émission de jetons de 100 millions de dollars sans enregistrement. Le co-directeur de l'application de la SEC a déclaré que, par la vente de ces jetons, l'entreprise "a privé les investisseurs des informations légitimes auxquelles ils ont droit et a entravé leur capacité à prendre des décisions d'investissement éclairées."
Cette entreprise a été fondée en 2009 par plusieurs étudiants canadiens et a reçu le soutien d'institutions d'investissement renommées. En 2017, l'entreprise a réalisé une offre initiale de jetons, levant un montant de 98 millions de dollars, tout en lançant sa propre monnaie virtuelle.
Cet événement a suscité de larges discussions dans l'industrie sur la relation entre les projets de startup blockchain et les organismes de réglementation, de nombreux projets s'étant unis pour soutenir le développement des cryptomonnaies.